[Background] Sitrencia de Grandsland

Forelayder

Soldat d'infantrie de charge russe
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22 Octobre 2009
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Leonid Osipov
Sitrencia ou bien, Sinistria son surnom, est un des personnages du background Charlie Blackstar, elle est énigmatique, mais personne ne sait pourquoi elle est comme ça, et comme je n'ai envie de ne décevoir personne... Vous allez connaître son histoire. La narration sera du personnage elle-même, à la première personne.

... Je... Je suis Sitrencia, je suis né le même jour que Charlie, et avant de le connaître, je me souviens de ma naissance, elle était horrible et magique à la fois...

<< Félicitation, c'est une fille !
- Elle est mignonne comme tout... Dit ma mère.
- Voilà, on va vous laisser seuls avec elle... Dit le chef-médecin partant de la salle.
- Merci docteur... Mais... Mais elle ne respire pas ?
- Comment ?! Dit une infirmière qui allait quitter la salle >>

Le soucis c'est... Je suis morte-née. Je n'ai pas vécu mes premières minutes dès lors que je suis née... Il y a eu un problème.

<< Chef, elle est morte-née...
- Bordel... Comment on va annoncer ça à sa mère ?
- Je ne sais pas docteur... Elle est morte le 2 Avril 1993, 1h13, dit l'infirmière en pleurant.
- C'est vraiment triste... Allez la mettre à la morgue, je vais l'annoncer à la dame.
- D'accord, bon courage monsieur...
- Madame ? Dit-il en entrant dans la salle, votre fille vient de décédé, c'était une morte-née.
- Oh non ! Mon bébé !
- Je suis désolé. Toutes mes condoléances... >>

Mais, je ne serai pas ici, si j'étais vraiment morte-née, pas vrai ?! Il eût quelque chose, pendant 16h, je suis morte, à la morgue... Mais à 17h13, je me suis mise à revivre, et je criais de toutes mes forces. De la lumière jaillissait du casier, j'étais bénie.

<< Bon sang qu'est-ce que... ?! Dit le chef-médecin en me prenant, mais comment ça se fait... Je ne comprends pas, elle est morte ce matin à 1h13, comment ça se fait qu'à... 17h13... Elle se remettes à vivre de son plein gré ? >>

Je ne pleurais pas dans ses bras, j'étais sage. Je ne bougeais pas... Et, à ma grande surprise...

<< Et un autre mort-né...
- Eh bien, on dirait que toi tu as de la chance de t'être manifestée, sinon tu allais finir comme lui... Dit le médecin-chef en me regardant. >>

Le bébé qui était mort lui aussi, c'était Charlie... Il a subit le même sort, mais... Quand son corps est passé près du mien, je l'ai touché, et il s'est passé quelque chose.

<< Eh mais qu'est-ce qu'il... Il se remet à revivre ?!
- Comment ça ? Dit le médecin chef à l'autre docteur, il était bien mort ?
- Ah oui, oui oui ! J'en suis catégorique ! Mais là... Il se remet à vivre.
- ... incroyable, c'est un peu la même chose pour cette petite fille, elle était considérée comme morte mais, elle s'est remise à vivre elle aussi, seulement, sa mère a fait son deuil, et elle est partie, du coup... C'est une orpheline... Et lui?
- Ses parents l'ont abandonné quand ils ont appris la nouvelle, c'est la même chose... Et ils n'ont pas de prénom ?
- Ils avaient un prénom pour le garçon, Charlie, mais... Il va devoir grandir à l'orphelinat. Et elle ?
- Elle, aucun, je ne sais pas ce qu'on va faire d'elle...
- Donnez-lui un prénom, je vais aller préparer ce bébé pour l'orphelinat.
- Et bien... J'avais vu un livre et... Enfin... Sitrencia. Voilà je l'ai dis son prénom...
- Ces pauvres enfants... J'espère qu'ils seront heureux malgré tout...
- On ne peut pas s'en vouloir, c'est vraiment exceptionnel qu'ils soient vivants, surtout pour celle-là... Bon, aller, on y va. On a pas le choix. >>

Deux années plus tard, mon premier mot fût... Charlie... Je pensais déjà à lui alors que j'étais si petite... On avait grandit à l'orphelinat ensemble, jusqu'à nos trois ans, jusqu'à ce qu'il soit choisi par un couple de famille "Blackstar" et moi j'ai grandie jusqu'à dix ans, je m'étais pas intégrée au système de l'orphelinat, et je me sentais seule... Jusqu'à ce qu'un des plus beaux jours de ma vie arriva.

<< Oui, mais ôtez-moi d'un doute jeune homme, est-ce que ces enfants sont gentils ? J'aimerai une... >>

De mes yeux argentés, j'ai vu en cet homme, la bonté. J'ai su percé son cœur dans ses yeux.... Il brûlait d'énergie, il était de feu ce que j'étais à glace, mais je le complétais comme la perfection, et... Je ne sais pas ce qui m'a prise, j'ai couru, et je me suis jeté contre cet homme, et, il le voyait que j'arrivais vers lui, et instinctivement, nous nous retrouvions l'un comme l'autre dans les bras de chacun. Je ne pourrais jamais expliquer ce que mon cœur a ressenti ce jour là, c'était... C'était comme le baiser de Charlie sur mes lèvres. Je me sentais prise, volant dans les bras de mon père, et cet homme, alors qu'il n'était pas du tout mon père, a su trouvé en lui toute la gentillesse pour me mettre en confiance, il m'a accepté comme sa fille alors que nous nous étions même pas parlé... Et le pire...

<< Papa... Dis-je.
- M-ma fille... >>

Comme nos gestes en parlaient beaucoup, je l'ai adopté, comme lui il m'a adopté, je me sentais comblée rien qu'en étant dans ses bras, parce que j'ai su trouvé un père en lui, et lui, une fille en moi. J'avais le cœur qui battait tellement fort, il pouvait certainement l'entendre. Je m'étais mise à pleurer dans ses bras, comme si je le connaissais depuis toujours... Je n'avais que dix ans... Puis, je l'ai revu dans ses yeux, cet homme, et il a fait de même, et nous sommes devenus père & fille.

<< Je l'adopte, jeune homme. Cette perle est la petite fille que je recherchais dans mon cœur... Où dois-je signer ?
- Euuh, par ici monsieur...
- Papa...
- C'est incroyable, cette petite... Elle est parfaite...
- M'oui... Signez cette décharge, puis ces papiers, et montrez-moi vos papiers... >>

Après tant de formulaires, j'étais à lui, je l'appartenais, et je ne voulais plus le quitter. Il m'était cher, très cher à mes yeux, et j'étais chère à ses yeux, je ressentais ce qu'il sentait juste en lui tenant la main. Aux bouts de mes doigts, je tenais son cœur, je tenais sa vie. Arrivant chez lui, c'était un château, mon père adoptif était un noble, et sa famille en était son trésor, je ressentais tout ce que ce château inspirait, j'avais le don pour ça...

<< Nous sommes arrivé... Oh, ne prend soin que de te déchausser une fois à l'entrée, notre domestique se chargera du reste... Je pense que ta nouvelle vie ici, sera loin de te déplaire, je t'en prie, à toi l'honneur. >>

J'étais très timide, j'avais le cœur qui se resserrait parce que, j'allais rencontrer la famille de cet homme. En entrant, je me déchausse...

<< Bonjour à tous ! Voyez que je ramène à la maison, une brebis égarée...
- Bo-bo-bonjour...
- Bonjour mademoiselle de Grandsland, puis-je prendre votre manteau ?
- Euh oui, mais, comment vous vous appelez ?
- Je suis Peter, Peter Patrolavique, je suis votre majordome.
- D'accord enchantée, je suis Sitrencia !
- Quelle jeune fille débordant d'énergie... Dit-il.
- Mademoiselle, dit mon père en me regardant, tu seras désormais Sitrencia de Grandsland, mais, Peter vous fera les cours que vous aurez au sein de notre château, nous aménagerons une salle de classe pour vous.
- Merci... Papa...
- Euh...
- Ce n'est pas grave monsieur, je lui apprendrai, suivez-moi mademoiselle, je vais vous faire la première heure de cours, histoire que vous apprenez la famille et la manière...
- Déjà ? Dis-je.
- C'est nécessaire pour éviter qu'il soit embêté... Dit-il.
- Mais, et ma mère ? Et le reste de la famille ?
- J'insiste, venez. >>

En entrant dans ma chambre avec le majordome, il allait tout m'expliquer...

<< Tout d'abord... Vous n'avez pas de mère.
- C-comment ?!
- Votre père est un hériter d'une famille, et il n'a pas la force de trouver une compagne, depuis, il a erré seul, dont je suis plus vieux que lui, je suis aussi son conseiller, il n'a plus ses parents, dans ce château, ne vit, que moi, et lui, et vous désormais. Il a toujours échouer dans sa vie, et il n'a pas eu la force de perpétuer les héritiers de sa famille. Il vous a désigné comme étant sa fille, mais, vous aurez le flambeau à porter toute votre vie désormais, vous aurez à trouver un noble, et à vivre avec lui. Et puis... >>

Il m'expliqua les manières dont je dois me comporter, mon éducation, les cours que j'aurai ici... Il m'a tout dit, et depuis des années, je me suis convenue correctement, comme étant noble.
 

Forelayder

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Une fois que j'ai eu mes 18

Une fois que j'ai eu mes 18 ans, ma vie a pris un nouveau virage...

<< Père, est-ce que vous vous sentez bien ?
- Je... Sitrencia, il faut que tu saches, maintenant que tu es grande... J'ai un cancer. Il me ronge depuis tant d'années, je te l'ai caché parce que, je voulais que tu te sentes prête à voler de tes propres ailes sans que ma santé t’influence...
- Je le savais, Père, je le savais, c'est ce que je vois en vous depuis ce temps... Je voulais vous demander, est-ce que les anges et les démons existent-ils en notre monde ?
- Pourquoi... Pourquoi à ton âge ne sais-tu pas que ça n'existe pas ?
- Père, je... Je suis désolé, c'était futile, je vais dans ma chambre...
- Très bien... dit-il en toussant, je vais me reposer... >>

Depuis que je sais que père eût son cancer, je le sentais, je le voyais. À mes 13 ans, je l'ai su, je le voyais, et c'était quelque chose que j'ai trouvé normal, jusqu'à ce que je m’aperçoives que c'était incurable, j'arrive à percevoir les sentiments... Quand j'ai su que ses sentiments étaient moches, horribles, je ne me suis pas posé de questions, et à l'instant même de notre courte discussion, je sentais qu'il allait bientôt partir mais, je préfère le voir libéré de ses souffrances que de le voir dans ce fauteuil à ne rien faire de sa vie... J'ai regardé par la fenêtre, et je m'imaginais une autre vie... Enfin, j'ai su que mon père était sur le point de rendre son dernier souffle, je l'ai regardé, dans ses yeux, la mort l'emporté, et je me suis mise à pleurée.. Le majordome était là pour me consoler, et entre ces deux personnes, le plus paternel, c'était lui, le majordome m'avait tout apprit comme d'un père à sa fille, alors que j'avais vu, en cette personne venant de partir, la bonté, j'étais naïve. Je me sentais croire vivre aux côtés d'un père qui ne voulait de moi qu'une copie de lui. Il est parti, et toute suite après, je suis revenue dans ma chambre.

<< Sitrencia... Tu veux parler ?
- N-non... Désolé, c'est difficile.
- Je sais que ton père était pas quelqu'un de parfait mais, il était ton père. Il est parti si vite de là où il était...
- C-...Comment est-ce que j'ai pu croire en lui... ?
- Et bien, dit-il en venant mettre son bras autour de moi, tu as cru en lui parce que tu n'avais personne en qui avoir confiance, tu avais peur...
- Et si durant toute ma vie, le seul objectif qui m'est utile n'était que la mort...
- N'en penses pas comme ça de ta vie, sois heureuse, penses à toi.
- C'est difficile, dis-je en regardant par la fenêtre, les êtres-humains sont voués à mourir, comment je peux profiter de ma vie en pensant que tout s'arrêtera un jour...
- J'ai une idée mais, j'y avais déjà pensé...
- Comment ?
- Ce livre, lis-le, tu vas comprendre. Quand j'ai su que la vie avait son alter-ego, j'ai pensé à toi.
- Je ne comprends pas, père avait pourtant dit que ça n'existait pas...
- Il te suffit d'y croire.
- Mais, est-ce qu'il me mentait... ?
- Non, il ne mentait pas, il était un être humain. Il ne croyait pas à ça parce qu'il n'était pas ça. Lis le livre, comprends-le, et reviens me voir... Je vais déplacer ton père dans la crypte ancestrale de la famille Grandsland. Saches, que tu es l'héritière de beaucoup de fortune, fais le bonheur autour de toi...
- Comment est-ce que je peux offrir ce qui m'importe pas à mes yeux... Comment est-ce que je pourrais offrir à quelqu'un un amour vide ?
- L'amour est différent pour tout le monde, jeune fille, ne sois pas négligente. Je te laisse, à plus tard... >>

Je me suis offerte, corps & âme, à la lecture de ce livre, dont le titre était "rêve de glace et cauchemar de feu", avec la couverture d'un ange et d'un démon... Et j'ai compris. J'ai compris ce que Peter voulait me dire... Ce qu'il y a de l'imagination, on s'en sert pour voir loin... Ce qu'il y a de l'espoir, on s'en sert pour s’envoler... Ce qu'il y a de vivant, on s'en sert pour aimer. En quelques sortes, si je suis vivante, j'aimerai, si j'espère, je volerai, si je pense, je verrai... Puis, j'ai pensé subitement à Charlie. Cet enfant... Cet élixir de jouvence... Cet... Cet être humain qui a besoin de moi dans sa vie. Je ne voudrai pas le choquer, mais... Je suis sa moitié... Je me souviens que très vaguement de lui mais, comme le livre raconte, si je l'imagine, je le verrai, si j'espère, je m'envolerai vers lui, et si je suis vivante... Je l'aimerai... Je ne pourrais jamais en dire autant de cet personne que n'importe qui sur terre.

<< Peter, j'ai compris, il me suffit de... PETER ?!! >>

Les larmes de mon âme tombèrent encore... Je vis Peter, pendu dans le salon. Je me sentais seule... Je pleurai tout ce qu'il y avait en moi, tout mon amour pour lui était fini à cause de lui, mais je n'ai su lui pardonner, cette famille est morte... Je n'avais plus rien à faire ici, je n'allais que récolter chagrins & tristesse, enfermement & désespoir, mort & vivant... Je suis partie avec le livre, quelques affaires, et un peu d'argent, jusqu'à ce que je trouve des policiers à l'entrée.

<< C'est ici le coup de fil ? On nous a signalé un suicide !
- Euh, oui, dis-je timidement, c'est une personne qui voulait mettre dans la crypte familiale, le propriétaire de la maison, je suis... Je suis juste une passante, quand j'ai vu la porte ouverte, j'ai pensé à vous.
- D'accord, on y va les gars, en revanche mademoiselle, restez ici, on aura besoin de votre déposition.
- Très bien... >>

Je suis partie en m'envolant autre part qu'ici, je me sentais perdue... Enfin, je n'avais aucun objectif, et je me suis rendue sur le toit d'un immeuble pour profiter de la tranquillité, et j'ai terminé l'ouvrage. En finissant de le lire, j'ai compris une autre chose... En mourant de désespoir, c'est plus douloureux qu'en mourant maintenant... Alors, en me penchant dans le vide, j'ai déposé mes affaires, et comme... Comme je n'avais plus rien à vivre que pour Charlie, je répétais son prénom en chuchotant, et je me suis jeté dans le vide... Avant que je ne touche le sol, je me suis sentie portée, transportée, par une magie qui me surpasse, et je me suis sentie volée dans les airs, jusqu'à un nuage.

<< Mais... Mais ne suis-je pas morte ?
- Je t'ai vue pleurer, jeune fille... Pourquoi ? Me dit un ange stupéfait, est-ce que ta vie ne te plaît plus ?
- Est-ce que vous êtes un... Un ange ?
- Oui, et je suis aussi un être humain, je t'ai sauvée de la mort. Qu'as-tu de triste pour te suicider ? Dit-il en me prenant dans ses bras très forts, tu n'as pas de raisons de mourir maintenant, tu es si jeune...
- Je... >>

Je me sentais prise du même ressenti que mon père... Je sentais en cette créature, une fontaine de bonté. Dans ses bras, j'avais l'impression d'être au paradis, je ne voulais plus en sortir, j'étais stupéfaite de savoir qu'ils existaient vraiment...

<< Je suis perdue, aidez-moi, dis-je en le regardant dans ses yeux, je vous en supplie, rendez-moi le monde que je désire tant...
- Le monde que tu désires tant ? Dit-il en me regardant bizarrement, Après ce que tu as voulu faire, je crois que ça serait la vie que je te rendrai, la mort met fin à tout ce que tu es.
- Comment ? Mais... Est-ce que vous connaissez ce livre ? Dis-je en lui montrant.
- Les livres racontent ce que les gens veulent, Sitrencia, ne crois pas à ça. Si tu as envie de voir Charlie, il te suffit d'y croire, et si tu n'arrives plus à croire, il te suffit d'espérer, et si tu n'arrives plus à espérer...
- Et si je vie il me suffit d'aimer ?
- C'est ça mais... La vie ne se mêle pas à l'amour, tu n'as pas besoin de la vie pour aimer quelqu'un, partout autour de toi, les gens meurent, mais ils aimeront toujours ceux qu'ils ont aimé quand ils étaient vivants...
- Peter...
- Exact, Peter t'aimes toujours, même si il a voulu mettre fin à ses jours, il n'est plus Peter, mais il t'aimes toujours.
- Mais comment vous savez ça ?
- Parce que, je te surveille depuis que tu es petite. Je t'ai donné l'espoir, la vie, et l'amour, et je t'ai donné des dons pour que tu puisses apprendre qui tu es.
- Est-ce que vous voulez dire que j'ai appris à devenir comme vous ?
- Oh... Dit-il en me tenant la joue, absolument. Je n'avais pas d'autres moyens de te montrer comment te le dire, de là-haut, je n'ai pas une voix qui porte jusqu'à tes oreilles...
- Je vous aime...
- Je t'aime aussi, Sitrencia, et maintenant, dit-il en se tenant debout, tu vas pouvoir voir qui est Charlie.
- Vous allez m'abandonner ?
- Ma mission est accomplie donc... Oui, je suis désolé, tu vas devoir être seule à nouveau. Je vais te donner les moyens de trouver Charlie, son futur, et ta vie, jusqu'à ce qu'il fasse quelque chose qui contrarie ça, tu pourras lui dire tout ce que tu veux mais, souviens-toi que le flambeau...
- Le flambeau... C'est lui ?
- J'acquiesce. Cet homme n'a pas appris à être ce que tu es, tu vas devoir lui apprendre à ton rythme, je vais aider une autre personne, pour ma part... Je... Dit-il en me faisant un bisou sur ma joue, je dois m'en aller...
- Mais, comment est-ce que je deviens comme vous ?
- Voici ce qui t'aidera, dit-il en me donnant un halo, garde-le précieusement. Je dois te laisser, adieu Sitrencia, bon courage.
- Adieu... Dis-je en versant quelques larmes, je dois le trouver... >>

C'est comme ça, que, 3 ans après, j'ai trouvé Charlie, sur la route de Townsend...


Et voilà, l'histoire de Sitrencia se termine déjà, c'est triste n'est-ce pas ? Mais... Il reste un personnage, et, je compte bien lui en faire son histoire aussi... À plus ! Bonne journée/nuit à tous... Je me demande si Sitrencia me regarde actuellement ou si elle est entrain de dormir ?