Amnesia : The Dark Descent

Alex3211

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18 Août 2011
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Salut salut !!

Aujourd'hui je vous présente Amnesia : The Dark Descent

Un jeux franchement FLIPPANT ! ( Pour vous dire, j'en suis a la moitié, j'en tremble déjà de le finir, j'ai pas envi de flipper autant encore une fois. )

Ce jeux joue sur votre morale et vous met le stress, vous savez qu'il va vous arriver quelque chose mais rien ne viens, et ça viens UNIQUEMENT quand nous nous y attendons pas !

Site officiel : http://www.amnesiagame.com

Le jeux coûte 15 euros. Par cher pour un jeux qui en vaut franchement la peine.

Config minimum : Windows Xp/Vista/7, processeur 2 GHz, 1 ou 2 Go de RAM (en fonction du système d'exploitation), carte graphique GeForce 6 / ATI Radeon HD, 500 Mo d'espace libre sur le disque dur

Vous voulez des photos ?

http://www.jeuxvideo.com/screenshots/images/00027/00027207_011.htm

Je ferais une vidéo de youtube dessus plus tard, donc je vous donne ma chaîne si besoin, no comment.
http://www.youtube.com/user/3211Alex?feature=mhee
Oui, il y en a déja une, mais je vais finir l'histoire, donc si vous comptez l'acheter, ne REGARDEZ PAS MES VIDEO, RISQUE DE SPOIL !! ;)

Selon jeuxvideo.com :

Amnesia : The Dark Descent est un jeu d'action horrifique à la première personne sur PC se déroulant au XVIIIe siècle dans les entrailles d'un vieux château. Une gestion de la physique importante ainsi que la possibilité d'éditer tous les niveaux du jeu à sa convenance grâce à des outils avancés offrent une grande liberté au joueur.

Après avoir œuvré sur l'excellente trilogie des Penumbra, le studio suédois Frictional Games nous revient avec un nouveau survival-horror en vue subjective, Amnesia : The Dark Descent. L'action se déroule cette fois au XIXème siècle dans un sinistre château prussien, et les développeurs semblent s'être donné un seul mot d'ordre : vous coller une trouille monstre dont vous aurez du mal à vous remettre !
Amnesia : The Dark Descent

Si la petite histoire du survival-horror commence à prendre une consistance non négligeable, celle des jeux vidéo lovecraftiens n'a rien à lui envier. De The Lurking Horror à Darkness Within en passant par The Hound of Shadow, Alone in the Dark, Shadow of the Comet et Dark Corners of the Earth (et on en passe, faute de place), de nombreux titres ont été plus ou moins ouvertement influencés par les récits fantastiques de l'écrivain américain, dont la mythologie terrifiante est une source d'inspiration inépuisable. Dans le cas d'Amnesia : The Dark Descent, le nouveau jeu de Frictional Games, l'hommage est total. Rien que le moteur graphique, le HPL Engine, témoigne de la reconnaissance des développeurs envers un auteur qui nourrit littéralement leur dernière création.

L'amorce scénaristique rappelle du reste la nouvelle de Lovecraft « Je suis d'ailleurs ». Un homme se réveille, seul, dans un vieux château prussien. Il ne se souvient plus de rien, si ce n'est de son nom, Daniel, et de son problème : quelque chose le pourchasse. Alors qu'il tente de fuir cette prison de pierre, il tombe sur quelques pages d'un journal qui semble avoir été écrit de sa main. Son "ancien moi", qui s'est volontairement plongé dans un état d'amnésie pour éviter de sombrer dans la folie, lui conjure de supprimer le maître des lieux, un certain Alexandre de Brennenburg. Daniel se lance donc dans l'exploration de l'immense et sinistre bâtisse. Étant donné que les rencontres qu'il y fera ne sont pas du genre loquaces, le jeu mise sur deux procédés narratifs qui vous permettent de comprendre les tenants et les aboutissants de l'histoire : des flash-backs qui se déclenchent à la découverte de certains lieux, mais aussi de nombreux écrits éparpillés dans le château, dont la lecture permet à votre héros de comprendre l'exacte raison de sa présence à Brennenburg (le procédé est classique mais a le mérite de rappeler certaines nouvelles épistolaires de Lovecraft). Vous découvrez ainsi que tout tourne autour d'un étrange artefact découvert par Daniel dans le cadre de fouilles archéologiques, un globe dont Alexandre prétend connaître l'origine dans la lettre où il l'invite à le rejoindre dans son château. Mais quels secrets inavouables cache le maître des lieux ?

Le gameplay est, à la base, identique à celui de la série des Penumbra. La vue subjective épurée de tout élément d'interface, gage d'immersion, offre un haut degré d'interaction avec l'environnement. Le moteur physique, toujours aussi impressionnant, permet de saisir un objet, de l'examiner sous toutes les coutures, de le lancer ou de l'utiliser sur le reste du décor, certaines actions nécessitant de mimer l'action à la souris. Un système d'inventaire similaire à celui d'un point'n click autorise les associations d'objets, sachant que vos objectifs consistent la plupart du temps à fouiller des salles à la recherche des éléments permettant de progresser. Les énigmes proposées restent abordables par le commun des mortels, sauf sur la fin où elles ont tendance à se complexifier un peu. Il va de soi que l'exploration des lieux est ponctuée de mauvaises rencontres, l'originalité d'Amnesia - qui était déjà celle des Penumbra - étant de vous contraindre à les éviter à tout prix (vous n'avez de toute façon aucune arme). Ainsi, bien qu'il soit tentant d'allumer les torches et les bougies, voire d'utiliser votre lampe à huile, pour éclairer les endroits plongés dans l'obscurité, vous prenez le risque de vous faire repérer. Si cela devait arriver, il suffit le plus souvent de se cacher dans un coin d'ombre, en prenant soin de rester immobile et d'éviter de regarder la "chose" qui vous frôle. Mais ne comptez pas évoluer en sécurité dans les ténèbres à la manière d'un Garrett dans Thief : il vous faudra rapidement revenir vers la lumière sous peine de sombrer dans la folie !

Car l'ingénieuse idée de Frictional Games, c'est de coupler la traditionnelle jauge de santé à une jauge de santé mentale, une notion typiquement lovecraftienne bien connue des pratiquants du jeu de rôle papier L'Appel de Chthulu. Votre santé mentale décline à chaque fois que vous assistez à un événement perturbant ou que vous restez trop longtemps dans l'obscurité. Le cas échéant, votre pouls s'accélère, votre vision commence à se brouiller et vous vous déplacez plus difficilement, ce qui vous rend encore plus vulnérable. Pour symboliser cet état, les développeurs n'y sont pas allés de main morte : effets de flou et de déformation de l'écran, filtre coloré, respiration haletante, thème musical stressant, etc. Le problème, c'est qu'au lieu de vous laisser avoir peur, ils ont sans doute un peu trop misé sur la transmission au joueur du sentiment de panique du personnage qu'il incarne, un véritable frein à l'immersion pour peu que vous ne soyez pas en phase avec l'état émotionnel de Daniel. Qui plus est, les mécanismes utilisés pour susciter l'angoisse (une créature qui surgit, une porte qui claque, des hurlements à glacer le sang...) sont tout de même quelque peu éculés. Autre reproche : les apparitions de monstres sont à la fois scriptées et éphémères : la première fois, vous risquez de mouiller votre pantalon et de rester tétanisé pendant de longues minutes, mais vous finirez vite par comprendre les rouages de ces séquences de jeu.

Bref, le titre fonctionne un peu trop sur le modèle du stimulus/réponse qui consiste à provoquer la peur à la commande chez le joueur. On est loin d'un Penumbra, qui se révélait paradoxalement plus oppressant dans la mesure où il laissait le joueur construire ses propres inquiétudes, ou bien encore d'un Dark Corners of the Earth proposant un traitement plus subtil de la peur. Si on osait le parallèle cinématographique, on pourrait dire qu'Amnesia se rapproche davantage de la terreur hystérique d'un The Descent là où Penumbra optait pour l'horreur psychologique d'un The Thing. Il faut toutefois reconnaître qu'on rentre là dans le domaine de l'appréciation subjective qui n'engage que l'auteur de cet article, et que le jeu réserve assurément quelques moments d'intense frayeur, comme la course-poursuite avec le monstre aquatique dans la cave inondée, ou bien encore la première rencontre frontale avec un occupant des lieux dans la réserve où il fait un noir d'encre – deux séquences qu'on croirait sorties de L'Affaire Charles Dexter Ward. Mais sur un plan plus objectif, il y a encore quelques reproches à adresser à Amnesia, dont le rythme est entaché de fréquents chargements (pour peu, on se croirait dans le premier Resident Evil) qui représentent une fraction non négligeable des 8 heures de jeu offertes. Le système de sauvegarde automatique et les conseils de jeu (heureusement désactivables) ne convaincront pas non plus tout le monde.

Si Amnesia privilégie le sursaut facile à la vision cosmique lovecraftienne, il faut reconnaître qu'il le fait avec brio. L'ambiance sonore, en particulier, est tout simplement dantesque. Les rats grattent les murs, le plancher grince, des chuchotements se font entendre, votre respiration s'accélère : tout concourt à vous mettre mal à l'aise. Et pour ne rien gâcher, les rares pistes musicales se révèlent très réussies. Graphiquement, c'est un peu moins convaincant : le rendu visuel est tout juste correct. Détail amusant : alors qu'on avait reproché à Penumbra d'aligner des lieux vides, Amnesia, donne au contraire une impression de remplissage avec ses armoires et ses étagères copiées/collées un peu partout où l'on ne trouve bien souvent qu'une boîte d'amadou. A côté de ça, la gestion de l'ombre et de la lumière est réussie, sans toutefois se montrer exceptionnelle. L'effet SSAO destiné à améliorer les ombrages est hélas un véritable bouffeur de framerate, qui occasionne de surcroît des soucis de rafraîchissement. Au rayon des problèmes techniques, signalons que les bugs de collision sont fréquents et le jeu ne laisse pas autant de place à l'expérimentation que dans Penumbra puisqu'il est possible de se retrouver coincé ou d'accéder à un environnement inachevé en empilant des caisses (qui disparaissent au rechargement de la pièce). Il reste que ces problèmes techniques sont assez secondaires dans un jeu indépendant proposé à une quinzaine d'euros, et qui les vaut amplement.


Note rédaction de jeuxvideo.com : 15/20
Note moyenne des Lecteurs de jeuxvideo.com : 17/20

C'est ma première présentation, alors soyez gentils s'il vous plait. A plus tard ;).
 
T

Timort

Invité
Mdr quand tu va voir la fin

Mdr quand tu va voir la fin tu va vraiment être dég ^^
Pol lopette :]
 

Alex3211

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18 Août 2011
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ben jserais deg en direct

ben jserais deg en direct alors, je vais recommencer l'histoire mais tout en vidéo + youtube :p